lundi 28 juillet 2008

Le divorce religieux en question : Vos commentaires et réactions

Du 28 juillet au 29 août, la CSUQ vous propose une série vidéo exceptionnelle via LVS.tv, sur son site web, à propos du divorce religieux.

Dans cette première partie, vous allez entendre Diane Sassoun, Présidente d'Auberge Shalom, qui évoque un cas douloureux de femme en attente du Guet. Depuis presque vingt ans, l’Auberge Shalom accueille ces femmes battues par leurs maris ou leurs conjoints. Et chaque année, ce sont une centaine de ces femmes que l’association a hébergé et aidé à se reconstruire. Une association dirigée par Diane Sassoun.

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12 commentaires:

Anonyme a dit…

Je trouve que c'est scandaleux de laisser des femmes dans l'attente et parfois la terreur. C'est un scandale pour notre communauté.

Charlène Dahan

Anonyme a dit…

Il ne faut pas noircir le trait. Ce que cette femme rapporte est tout de même très rare. Les rabbins réagissent bien à ces situations. Il ne faut pas envenimer les choses.Merci.

Samuel B.

Anonyme a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Anonyme a dit…

Non, il faut parler, au contraire. Moi, je connais des femmes qui justement n'ont pas d'oreilles à qui se confier. Il faut dire tout haute ce que certains dans notre communauté voudraient chuchoter tout bas. S'il y a de la honte dans certaines situations de divorce - et il y en a beaucoup - il faut expliquer les raisons de cette honté et chercher à les corriger.
Bravo, en tout cas, à la communauté de Montréal de briser la glace sur ce sujet. En France,aussi, les choses bougent.

Julien Charbit

Anonyme a dit…

C'est un scandale que d'avoir à demander l'intervention d'un Rabbin Compétent et qui a le "pouvoir" et qui ne fait rien ....
Les Femmes sont toujours à la merci des Hommes !!!
Et rien ne chane à ce niveau.

Unknown a dit…

À mon avis, afin de faire justice à la question posée par le problème épineux du guet, il faudra que cette émission sollicite l'opinion de quelqu'un qui croît fermement que l'état ne doive pas intervenir pour régler une crise religieuse, crise qui appartient à la religion à régler. J’ai plaidé cette question devant la Cour suprême du Canada, qui a choisi d’appuyer aveuglement une femme qui s’est décrite comme agunah, même si elle ne l’était pas. Les conséquences d’une telle intervention intempestive de notre plus haut tribunal est à regretter, et j’attends le jour quand, par exemple, la société civile prohibe la circoncision (comme le souhaite la professeure Somerville), et que le tribunal livre ses châtiments civils et criminels contres les officiers religieux qui performent l’opération.

Anonyme a dit…

Je vous soummets tout à fait respectueusement, que ma toute première réaction en écoutant cette émission, fut de me demander que vient faire cette horrible musique paradoxale, qui ne correspond pas du tout, du moins à mon humble avis, à un sujet aussi sérieux, douloureux et controversé, que celui que l'on traite ici. Peut-être qu'un petit air de fond léger et sobre (ou encore pas du tout),nous permettrai de mieux se concentrer sur le fond du sujet, et de porter des réflexions plus attentives. Merci de votre compréhension.

Albert Herscovitch

Anonyme a dit…

Je trouve, pour ma part, que le ton de l'émission est bien articulé, intéressant, et j'attends la suite des témoignages avec impatience. Merci

Anita Bergougnan

Anonyme a dit…

Non, je ne suis pas d'accord avec Annefrance : l'Etat doit intervenir, quand on en arrive à des extrêmités douloureuses, dans la sphère religieuse. Vous parlez de la circoncision, mais il y a d'autres cas où la Justice civile peut et doit intervenir. Le cas des Agounot en est un Vous citez un cas parmi des milliers d'autres, et ça ne peut faire jurisprudence...
En tout cas, c'est très bien d'en parler. Bravo à la communauté juive sépharade de Montréal de faire cet effort ! Entre parenthèse : superbe site.

Benjamin Serfati

Philippe Régnoux a dit…

Bonjour,

Et merci pour ces premiers commentaires laissés sur le blog.

Je vous informe, si vous souhaitez d'ores et déjà aller plus loin sur la question, que nous avons décidé de proposer sur le portail officiel de la CSUQ, un extrait du documentaire diffusé sur la chaîne de télévision française, France 5.

Le lien pour consulter ce documentaire est : http://csuq.dexservers.com/articles.asp?articleID=9B2E85EE-B43C-4670-9308-662D339CE4BE

Merci

Votre administrateur CSUQ

Anonyme a dit…

C'est évident qu'il y a une assymétrie juridique dans notre droit hallachique.
Les Rabbins doivent protéger les femmes puisqu'il n'est pas possible de changer la loi.Cependant, ils doivent s'assurer qu'il n'y a pas de manipulation autant d'un coté que de l'autre,car c'est l'occasion des reglements de comptes et des vengeances qui laissent sur le carreau l'un des conjoints(en géneral la femme) et les enfants.
En cas de conflit entre le droit civil et le droit religieux,il devrait exister une juridiction arbitrale qui devrait se prononcer et qui aurait force de loi, lorsque la procédure du Guet dure deux ans maximum.S'il est averé qu'un des conjoints est en danger dans son intégrité physique et psychologique pendant ces deux ans,cette même instance pourrait etre saisie d'une façon accelérée.
Maxime Ohayon

Anonyme a dit…

perso je trouve ca scandaleux

un des jeu les plus en vogue

http://bibos3105.labrute.fr